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Sériecalement Vôtre
27 juin 2012

BANDES ANNONCES (27/06/2012)

Ma sélection (non exhaustive) de bandes annonces glanées par-ci, par-là...

 

Common Law
Episode 1*07 “Role Play”



Rizzoli & Isles
Episode 3*05 “Throwing Down the Gauntlet”



Teen Wolf
Episode 2*06 “Frenemy”




Damages
Saison 5







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23 juin 2012

Fanfilm Criminal Minds, "AGENTS DU DIABLE" (1)

Et voici une première bande annonce du fanfilm Criminal Minds, “Agents du diable” !

Vous retrouverez le récit de cette épopée dans la rubrique Journal fanfilm Criminal Minds

 

 

 


22 juin 2012

NCIS : LOS ANGELES, EPISODE 3*10, "THE DEBT"

Ce que j’en ai pensé…


(diffusion fr)

 

NCIS the debt 1


Très bon épisode, centré sur Deeks et le duo Kensi/Deeks. Cet épisode démarrait sur les chapeaux de roue et amenait Deeks à tirer, au cours d’une mission conjointe entre police de Los Angeles et le NCIS, sur un suspect… non armé. Evidemment, cet incident jetait de l’huile sur le feu entre police de LA et NCIS (car l’opération se soldait par un échec), et plus grave, Deeks se retrouvait sous le joug des affaires internes ! Autant dire que la situation s’annonçait bien délicate pour le jeune blond. Et NCIS a réussi à nous embarquer sur une piste pour la brouiller et poser un judicieux retournement de situation, dans la mesure où tout avait été manigancé par le NCIS pour découvrir la taupe sévissant dans les rangs des forces de l’ordre. C’était, ma foi, bien trouvé, et surtout, bien amené. Je ne l’ai pas ressenti comme quelque chose qu’on pouvait déjà prévoir dès le début (mais autre possibilité : je suis trop naïve, mais ça, c’est un autre problème).


Au départ, j’avais été un peu choquée par le peu de réaction de Sam et Callen face à l’annonce du renvoi de Deeks et de l’enquête qui allait être menée sur lui par les affaires internes. Certes, les trois hommes n’étaient pas très proches, mais cette attitude molle des deux agents fédéraux m’agaçait… Avant d’en comprendre la véritable raison (c’était une tactique). Ce qui m’a le plus intéressée, c’était de voir une Kensi, alias la femme forte capable de tout endurer (la « warrior »), presqu’effondrée de perdre son coéquipier. Il existe une très belle complicité entre ces deux personnages, même s’ils passent le plus clair de leur temps à se chamailler (dans la bonne humeur). D’ailleurs je préfère ce duo à celui Callen/Hannah. Par contre, j’ai été gênée par leur discussion autour du « truc dont il faut parler ». Ce fameux « truc » avait un arrière goût d’aveu d’amour, et personnellement, je n’ai pas envie que Kensi et Deeks forment un couple (pour l’instant, en tout cas). Je trouve leur dynamique amicale bien comme elle est. On sent qu’ils ressentent quelque chose l’un pour l’autre, mais je le vois plus comme un profond respect, une grande amitié, une relation de fraternité.


En parallèle, l’intrigue nous emportait sur différentes pistes et réussissait à nous embrouiller sur les divers suspects présentés et à nous faire nous demander qui était la taupe. La vérité sur le plan fomenté par le NCIS pour découvrir la taupe était intéressante : elle permettait à l’épisode de prendre une autre tournure au lieu de se continuer sur une investigation des affaires internes et l’abandon des charges contre Deeks à la fin du volet (ou non). J’ai aussi bien aimé le fait que Deeks ait caché cette opération à Kensi, dans l’optique de la protéger, quoique Kensi ne soit pas le genre de femme qui a besoin d’être protégée. Mais ce fait prouve que Deeks tient beaucoup à Kensi. La colère de cette dernière, son sentiment de trahison en devenait compréhensible et touchant, et j’ai bien souri à sa réplique dans la voiture : « je peux te trancher la jugulaire de onze façons différentes ». Par contre, j’ai trouvé la ficelle « la taupe est le flic des affaires internes » bien grosse et redondante. On a déjà vu cette conclusion dans d’autres programmes, et je trouve dommage que NCIS ait choisi de poursuivre sur cette voie. Il aurait été plus subtil de proposer un autre coupable, au lieu de suggérer la même image sempiternelle du flic des affaires internes cherchant des poux à tous les autres flics du terrain, leur faisant la morale pour, finalement, cacher ses propres vices (faîtes ce que je dis, pas ce que je fais). C’est un raccourci peu intéressant et qui me fait éprouver un peu de peine pour ces policiers des affaires internes qui ne sont presque jamais montrés sous le meilleur jour. En effet, ce sont, en général, des donneurs de leçons qui mettent des bâtons dans les roues des vrais flics qui risquent leur vie alors qu’ils sont loin d’être aussi irréprochables. Je pense en effet que leur boulot ne doit pas être un long fleuve tranquille : eux aussi sont des flics, sauf qu’ils ne mènent pas les mêmes investigations que les autres flics de la criminelle, de la brigade des stups ou autre. Et ça ne doit pas être facile de faire son boulot en sachant que vos confrères des autres services ne vous portent pas vraiment dans leur cœur… Ne vous méprenez pas, mon intention n’est pas de faire des leçons de morale. Je ne connais rien au monde des forces de l’ordre. Je ne fais simplement que constater que ces policiers des affaires internes sont souvent malmenés à l’écran et il y a trop peu de séries ou films qui essaient de se placer de leur point de vue.


Pour en revenir à notre sujet principal, à savoir le coupable : c’était intelligent de ne pas faire porter le chapeau au chef de la police, parce que le chef, tout propre sur lui en apparence, alors qu’en vérité, il transgresse allègrement la loi et trompe son monde en abusant de sa position, c’est aussi du déjà vu. Même principe avec l’enquêteur des affaires internes, choix qui a été retenu en fin de compte. Par conséquent, j’aurai préféré que la taupe soit la femme de l’hôtel, par exemple (ou un nouveau personnage). Mais je dois reconnaître à NCIS cette bonne idée de donner quelques pistes sur les raisons des agissements du coupable, au lieu de boucler la boucle rapidement en disant « c’est lui le méchant, point final ».


Pour finir :
Mes + : Le rebondissement de situation/ La relation entre Kensi et Deeks
Mes - : Le raccourci sur l’identité du vrai coupable, sentiment de déjà vu


Et vous, qu’en avez-vous pensé ?


Sériecalement vôtre,
VK

22 juin 2012

BANDE ANNONCE (22/06/2012)

Bande annonce du jour :

 

Dexter

Saison 7

"Truth Brings Light"

21 juin 2012

BANDES ANNONCES (21/06/2012)

Ma sélection (non exhaustive) de bandes annonces glanées par-ci, par-là...

 

Dallas

Episode 1*04 “The Last Hurrah”

 

Eureka

Episode 5*10 “The Honeymooners”



Teen Wolf

Episode 2*05 ”Venomous”


The Glades

Episode 3*04 ”The Naked Truth”


Rizzoli & Isles

Episode 3*04 ”Welcome to the Dollhouse”



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18 juin 2012

BANDES ANNONCES (18/06/2012)

Ma sélection (non exhaustive) de bades annonces glanées par-ci, par-là...

 

Longmire

Episode 1*04 “The Cancer”



True Blood

Episode 5*03 “Whatever I Am, You Made Me”



Breaking Bad

Saison 5

“All Hail the King”




17 juin 2012

LONGMIRE, EPISODE 1*01 PILOT

Ce que j’en ai pensé…

 

(diffusion us)


longmire

 

J’ai découvert récemment le pilote de Longmire, nouvelle série américaine, et ce pilote m’a plue. Je n’irai pas jusqu’à dire que j’ai été transportée, que Longmire révolutionne le monde des séries, mais ce premier épisode était intéressant et m’a en quelque sorte proposée un agréable voyage. Alors, de quoi cette série parle-t-elle ? Tout simplement de Walt Longmire, shérif d’un comté du Wyoming, faisant régner la loi dans une contrée qui, si à première vue, a tout l’air d’un coin de paradis, est en réalité loin d’être épargnée par la violence. Le shérif est aidé dans sa tâche par l’adjointe Victoria et doit composer avec un autre adjoint, Branch, qui souhaite prendre sa place en tant que nouveau shérif.

 

L’enquête était correcte, sans forcément se démarquer par l’intensité du suspens. On passait d’un cadavre retrouvé dans la forêt à un secret de famille, avant d’atterrir sur une histoire de prostitution. Les retournements de situation étaient bons, pas mauvais. Cependant, l’enquête en elle-même n’est pas ce qui m’a le plus séduite. Ce que j’ai apprécié, dans cette série, c’est l’environnement, le cadre dans lequel évoluent le héros et ses comparses. Je vous disais plus haut que Longmire nous emportait dans un voyage. Et bien si vous êtes amateurs de paysages s’étendant à perte de vue ; si vous balader dans une petite commune du genre de celles où tout le monde se connaît, côtoyer des fermiers en stetson et possédant des fusils de chasse à foison ne vous répugne pas (ce qui est mon cas) ; alors Longmire est faite pour vous. En effet, la série nous plonge au cœur de l’Amérique profonde. Walt officie dans son comté avec seulement trois adjoints, dans un bureau de taille modeste. Ne comptez pas sur la présence d’équipements tactiques de pointe, comme par exemple des MP5 ou instruments d’analyse d’indices dignes d’un NCIS ou des Experts, car vous serez déçus en voyant Longmire : Walt et ses collègues fonctionnent à l’ancienne. D’ailleurs, il me semble ne pas avoir vu d’ordinateurs dans le bureau du shérif, et même Walt est allergique à la technologie : il n’a pas de téléphone portable ! Longmire nous fait découvrir la campagne, le mode de vie des petites villes perdues au fin fond de l’Amérique carburant à la musique country et ne jurant que par le Deuxième Amendement (i.e, le droit de porter des armes). Longmire présente également les conflits qui peuvent s’installer entre population locale et indiens, ainsi que la concurrence naissante entre Walt et Branch pour la course au poste de shérif.

 

En fait, Branch symbolise le jeune homme ambitieux aspirant au pouvoir, tandis que Walt représente l’aîné expérimenté, ne se souciant guère des magouilles politiques car l’important pour lui est de rendre la justice. Toutefois, Walt va devoir défendre sa position face à Branch qui ne lui facilite pas le quotidien par son manque de motivation dans les enquêtes, son partage tardif d’informations pour l’investigation, afin de faire passer le message à Walt. On voit toute cette contradiction dans la dernière scène, notamment, quand Walt plante, avec un marteau, sa petite pancarte de campagne artisanale sur le bord de la route en face de celle de Branch, aux allures de véritable campagne de promotion, vingt fois plus grande avec son portrait dessus. En fait, Longmire a ce côté western : Walt est le shérif ; son ami, Henry, le patron du saloon du coin (en fait, c’est le bar de nos jours) ; on a une communauté d’indiens méfiante des autorités locales blanches ; et on a même la rue principale qui traverse la petite commune et qui est bordée, entre autres, par le saloon !

 

Même si globalement, j’ai apprécié Longmire, je trouve, en tout cas pour le pilote, que Longmire est un peu trop centrée sur Walt. C’était prévisible, en voyant le nom de la série, me direz-vous. Certes, Walt semble être un personnage au lourd passé, mais voilà, il est un peu trop présent et par conséquent, les autres sont cantonnés dans un rôle (trop) secondaire. En outre, Walt est, dans un sens, un flic bourru ayant traversé des épreuves mais doté d’un grand cœur, dévoué à défendre la veuve et l’orphelin. Ce genre de héros n’est pas inconnu du petit écran, et je regrette que Walt ne soit pas plus original… et charismatique, car honnêtement, il ressemble plus à un loup solitaire plongé dans ses certitudes et habitudes, et Vic ainsi que Branch en arrivent même à attirer plus de sympathie que Walt lui-même ! Franchement, je suis restée indifférente à Walt. Il est tellement peu original dans l’histoire de son personnage et raide, sans expression. J’espère que les autres personnages (les adjoints et le gérant du bar) prendront plus d’ampleur au fil des épisodes. Walt reste le héros, mais je préfère quand il y a un bon partage entre les différents protagonistes, pour permettre davantage de diversité, d’interactions. D’ailleurs, Longmire aurait peut-être du s’appeler autrement, par exemple elle aurait pu prendre le nom du comté fictif dans lequel se déroule l’histoire, Absaroka County, et faire ainsi comme One Tree Hill : au départ, le sujet traite de la relation conflictuelle entre les frères Scott, mais en définitive, la série dépasse ce thème et chaque personnage gravitant autour des Scott bénéficient d’intrigues souvent plus intéressantes (du coup cela aurait été moins ridicule si la série s’était nommée Les frères Scott alors qu’en réalité, ils font partie d’une plus grand ensemble). Pour Longmire, cela aurait permis d’ouvrir les possibilités d’intrigues, parce qu’il paraît évident que Walt va accaparer l’attention des scénaristes (j’espère cependant que ce ne sera pas trop accentué et qu’il y aura de la place pour les autres). Enfin, je dis ça, mais étant donné que la série trouve son origine de romans, il est naturel qu’elle suive plus ou moins la même évolution de sa source… Donc affaire à suivre…

 

Pour finir :

Mes + : Le cadre dans lequel se déroule Longmire/ La bande son/ L’essayage du pantalon par les suspects dans la grange

Mes - : Un Walt qui occupe trop le devant de la scène et pas très charismatique

 

Et vous, qu’en avez-vous pensé ?

 

Sériecalement vôtre,

VK

11 juin 2012

Sondage Télé 7 Jours, "Vos stars les plus glamour 2012"

Le magazine Télé 7 Jours a organisé un sondage sur les stars de séries US les plus glamour de l'année 2012. 3211 votants se sont exprimés pour élire leur actrice glamour contre 2744 pour les acteurs.

Voici donc le verdict (publié dans le numéro du 16 au 22 Juin 2012) :  

Top 5 des actrices

1/ Stana Katic (Castle)
2/ Eva Longoria (Desperate Housewives)
3/ Amanda Righetti (Mentalist)
4/ Olivia Wilde (Dr House) et Nina Dobrev (Vampire Diaries)
5/ Kate Walsh (Private Practice)

Top 5 des acteurs

1/ Nathan Fillion (Castle)
2/ Shemar Moore (Criminal Minds)
3/ Matthew Bomer (White Collar)
4/ Chad Michael Murray (One Tree Hill)
5/ Patrik Dempsey (Grey's Anatomy)

Comme vous pouvez le constater, Castle sort grand gagnante de ce sondage, grâce à Stana Katic (alias Kate Beckett) et Nathant Fillion (alias Richard Castle). Bonne nouvelle pour Castle qui ne fait que gagner en popularité !


Et vous, quelles sont vos stars glamour ?

VK

 

11 juin 2012

Lancement de la catégorie : Pot pourri sur les séries

J'inaugure cette nouvelle catégorie, qui regroupera, comme son nom l'indique, des articles de nature variée, sauf quand il s'agira de critiques d'épisodes (celles-ci seront rattachées à leurs séries respectives). Bien sûr, cette catégorie pourra connaître des réorganisations en fonction des articles.

Et pour lancer les festivités, voici un premier article sur un sondage organisé par Télé 7 Jours (voir le prochain article de la catégorie).

10 juin 2012

SECTION DE RECHERCHES, SAISON 6

Ce que j'en ai pensé...

 

 

Cette année, j'ai découvert Section de Recherches. Oui, j'ai six ans de retard, mais l'important à retenir est que j'ai fini par regarder cette série. Elle fut pour moi une agréable surprise. Ce n'est, certes, pas la série révolutionnaire par son thème, mais elle reste néanmoins une bonne série policière à mes yeux. J'ai été frappée par les intrigues fouillées, et ça se voyait qu'elles avaient été pensées, réfléchies. Des enquêtes toujours intéressantes de semaine en semaine. Des enquêtes approfondies qu'il fallait suivre avec attention. Un peu d'étourderie et il devenait difficile de reprendre le fil. Chaque histoire présentait différents éléments qui, si à première vue, paraissaient déconnectés les uns des autres, jouaient en fin de compte un rôle dans l'affaire. On assistait à un enchevêtrement logique d'indices qui intervenaient chacun à un moment précis et avaient chacun une signification. Rien n'était laissé au hasard. J'ai également aimé ce côté flashback offert par la série, qui permettait de personnifier les victimes. Grâce aux flashbacks, les victimes n'étaient plus que de simples cadavres à autopsier, mais on s'en sentait plus proche en les voyant agir dans leur passé. Les flashbacks ajoutaient aussi de la psychologie pour comprendre la victime: ses actions, son état d'esprit. Ce schéma narratif m'a rappelée Cold Case, mais Section de Recherches s'en distinguait. Il y avait des flashbacks, mais la série diffère de l'américaine par son côté plus scientifique (avec les deux laborantins), et surtout, ces deux séries ne sont pas dans la même optique. Cold Case est plus sur la justice apportée aux victimes oubliées dans les cartons, sur l'affect, l'émotion. Section de Recherches reste dans le présent et il n'y a pas ce côté exacerbé d'émotion qu'on pouvait souvent trouver dans Cold Case.

 

J'ai accroché au thème et à la dynamique Section de Recherches. Par contre, j'ai encore du mal à me familiariser avec l'équipe. Alors me direz-vous à juste titre, j'avais quand même une dizaine d’épisodes pour le faire et donc c'est moi qui ne suis pas douée. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai encore du mal à retenir les noms des personnages, sauf pour Nadia et Marco. D'ailleurs, j'ai un faible pour ces deux personnages, d'où certainement le fait que j'ai en mémoire leurs prénoms. J'aime ce duo: il est drôle, il y a une super alchimie entre ces deux personnages qui se taquinent, mais sans jamais tomber dans le running gag. Nadia est une femme qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, qui a le sens de la répartie. Bref, c'est elle qui m'a le plus percutée. Quant aux autres, j'ai eu un peu du mal à m'habituer à les voir en tenue de civil alors qu'ils sont gendarmes. Mais bon, je ne vais pas tergiverser sur ce détail. J'ai encore du mal avec leurs noms, peut-être parce qu'ils m'ont moins percutés que Nadia. En outre, je trouve qu'il y a moins d'esprit de famille, d'esprit bon enfant dans cette équipe que dans d'autres que l'on peut voir à la télé. Pour donner des exemples : il y a moins de moments légers du style ceux entre Kensi et Deeks, NCIS : Los Angeles, ou comme dans NCIS. Je trouve les gendarmes enquêteurs moins proches les uns des autres, l'alchimie est moins flagrante. Elle existe sûrement, mais étant donné que je ne suis pas la série depuis ses débuts, je ne peux me baser que sur cette saison 6 et j'ai l'impression qu'il y a moins de complicité. Les personnages sont plus neutres, ils entretiennent une relation de travail (sauf certains, d’après ce que j’ai compris), sans grand plus, ou alors on ne le voit pas assez. Et que dire du procureur qui, finalement, ne fait pas grand chose dans la plupart des épisodes à part écouter le premier briefing de l'équipe ? Personnellement, son rôle est vraiment très secondaire, voire tertiaire. Il ne participe pas de façon significative à l'investigation, et du coup, vu le peu de scènes dans lesquelles il apparaît, je n’arrive pas à me familiariser avec lui. 

 

Globalement, la saison 7 possédait des enquêtes de qualité. J'ai eu une préférence pour l'épisode dans le camp de vacances et celui avec le gigolo. Rendez-vous l'année prochaine pour la prochaine saison, s’il y a !

 

Et vous, qu'en avez-vous pensé ?

 

Sériecalement vôtre,

VK

 

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